dimanche 12 octobre 2014

L A VIERGE MARIE UNE FEMME JUSTE



La 7eme journée de la neuvaine était marquée de l’enseignement distillé au peuple de Dieu à l’exemple de l’éducation de Marie, reçue en famille. Le Frère Gigal a relevé que la joie et le respect sont manifestés dans l’écoute de la parole de Dieu (Luc 11,27-28) et c’est cette dernière qui amène à la prière.
La parole de Dieu nous pousse à la prise de nos responsabilités dans l’éducation de nos enfants au sein de nos familles, comme Marie et Joseph, l’avaient affectueusement fait avec l’enfant Jésus. Les enfants doivent être le reflet de l’éducation de leurs parents.
Les parents, surtout la mère est invitée au dépassement de soi pour vaincre tous les sentiments négatifs capables de détruire l’harmonie, par les conflits délibérément crées, à la satisfaction du diable, l’ennemi de nos familles. En cas des problèmes de nature à séparer la femme de son mari ; le pardon et la réconciliation seront à l’initiative de la femme, vu le pouvoir que Dieu lui a donné à sa création au moment ou Dieu avait endormi l’homme.
 Sont justifiés, ceux qui mettent en pratique la parole de Dieu (Romains 2 :13) et le grand miracle réside dans la conversion pour le salut des âmes.
Le Frère Gigal a énuméré quelques critères d’une femme juste. Il a démontré que la femme juste ne  gaspille pas le pouvoir que Dieu lui a donné par les convoitises de la chair. A cet effet, elle s’attire des malédictions avec de fois des répercussions en famille (Galates 5 :16).
Voici les critères d’une femme juste :
1-La soumission de la femme devant son mari n’est pas de l’esclavagisme (Éphésiens 5 :22).
2- Le respect et la politesse à l’instar d’Esther (Esther 1 et 2). C’est grâce à cela qu’Esther fut devenue la femme du Roi.
3- La décence et la modestie devront remplir la femme juste de la présence du Saint-Esprit (Éphésiens 5 :8).
Il est regrettable d’entendre certaines femmes s’autoproclamer d’être à la page par le comportement déplorable dans la société.
4- La protection et la sécurisation de la famille sont les appendices que Dieu donne à une femme juste.
5- La fidélité, le bon langage de la femme dans ses propos, la douceur, l’obéissance a son mari, l’accueil et la crainte de Dieu.
Ces quelques critères font de la femme juste une femme sage appelée à bien bâtir sa maison. Voilà le miroir d’une femme juste sur les pas de la Vierge Marie
Dans sa prière d’intercession, le père Jean Marie BUKASA MALU  est arrivé à faire tomber les murs de Jéricho  qui bloquaient les familles du peuple de Dieu. Cette délivrance s’est manifestée par l’enthousiasme spirituel qui a soulevé ce peuple en question a donner dans la joie débordante l’offrande ordinaire et celle de la famille. La force de la parole, de la prière d’intercession et de la louange du Frère Jules NKASA DE CHANT en est la motivation.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire